Traditions War: a pathway to peace
- French Canadian -
Premier
Chapitre
Le jeune histoire de NA
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Premier
Chapitre Il
y a une mention t�t d�un programme de 12 �tapes pour d�pendants
similaire � celui des Alcooliques Anonymes dans l��cole d��t� pour
Alcool et Drogues � Yale en 1948. la question f�t pos�e � un conf�rencier
nomm� William W. Nous pouvons facilement supposer que c�est Bill
Wilson, par contre, une enqu�te peut nous montrer que c�est une autre
personne. C�est tout de m�me une premi�re mention et tandis que la r�ponse
de William est �vasive, elle ne nie pas la question. Une
personne assujettis � la rechute chronique nomm�e Daniel Carlson c�est
rendu � Lexington Kentucky pour briser son habitude de drogue une fois de
plus et est devenu abstinent. Il se peut que ca soit un miracle ou tout
simplement l�accumulation d�efforts de diff�rentes personnes �
travers le temps. Un autre personne quitte Montgomery, Alabama et se rend
� Lexington avec les 12 �tapes des AA sous le bras. Son nom �tait
Houston Sewell. Il a aid� � partir le groupe Narco. Il existait une
lettre de journal qui circulait dans le syst�me F�d�rale � �The
Key�. Des r�unions avaient lieux � Angola, la grande prison d��tat
en Louisiane et � Dallas au Texas. Tandis que plusieurs d�pendants
utilisaient le syst�me pour diminuer leurs habitudes � des niveaux plus
g�rables, il est apparent que nos racines se rapportent � ces premiers
efforts. �
New York, ou Danny vivait quand il n��tait pas � Lexington, une dame
d�avenir avec l�Arm�e du Salut nomm�e Dorothy Berry s��l�ve �
la grade de Brigadier G�n�rale. Son travail lui m�rite mention dans
notre jeune histoire. Elle nous a encourag� et nous a fourni les salles
pour tenir nos r�unions NA dans leurs �tablissements. Le P�re Dan Egan
travaillait aussi, principalement aupr�s des prostitu�s et d�pendants
se m�rite aussi une mention. Un membre NA dans le sud de la Floride est
cit� � nomm� un membre NA Charlie McGee pour avoir venu avec notre nom,
Narcotiques Anonymes. Le temps va nous en dire plus, sur notre histoire au
fur et � mesure que notre travail s�approfondi. Une chose, peu importe
les d�tails, nous sommes reconnaissant � tout ces gens pour ce qu�ils
ont fait car cela nous porte � notre r�tablissement aujourd�hui. La
c�te de l�Ouest : les d�buts de Sun Valley, proc�s verbal de la
r�union de juillet 1953 indique que rendu en octobre, il ne restait plus
personne qui tenaient leurs positions d�origine. Souvenons-nous que le
group voulait �tre AA/NA and lorsque ca c�est rendu au fait que AA ne
violerais pas leurs Traditions, cela a probablement offens� les membres
d�origine du groupe. Quelques membres au d� s��tre rencontr�s car
la l�gende accr�dite NA comme ayant commenc� sur la c�te de l�Ouest
en 1953. nous n�avons aucune id�e ce qu�avait l�air les r�unions
mais comme leurs contre-paires de l�Est, ils devaient manquer un ingr�dient
cl�. Un membre a exprim� qu�ils partaient des � groupes �
plut�t que de particip�s � la cr�ation d�une Fraternit�. C�est la
raison pourquoi ils n�avaient pas de litt�rature. Le Petit Livre Blanc
�tait comme un petit voilier sur la mer de la d�pendance dans les ann�es
cinquante, soixante et le d�but des ann�es soixante-dix. Les
Douze Traditions ont �t� approuv�s par la Fraternit� des AA � la Conf�rence
des Service G�n�raux en 1955. ce point singulier illustre bien � quel
point de d�part les aspects organisationnels des Fraternit� � 12 �tapes
�voluaient. Quand j�ai devenu � clean �, je me suis fait
dire que les efforts pour partir NA dans les ann�es quarante ont faillis
car ils ne suivaient pas les Douze Traditions. Tandis que ca soit vraie
que les principes incarn�s dans la structure des Traditions �taient viol�s
et les probl�mes qui en sont r�sult� ont mis fin les r�unions dans
plusieurs instances, ils ne pouvaient viol�s quelque chose qui n��tait
pas encore connus ou approuv�s. Un
de nos plus anciens membres �tait Daniel Carlson, un rechuteur d�sesp�r�
qui �tait retourn� � Lexington pour se � remettre en forme� une fois de plus. Cette fois il a r�ussi. Le sien est le
principal nom associ� avec les d�buts de NA dans l�Est des �tats-Unis.
Ensemble avec la Brigadier G�n�rale Dorothy Berry de L�Arm�e du Salut
qui f�t une grande amie pour NA dans les d�buts.
Ils
existent plusieurs articles dans le � Saturday Evening Post �
et d�autre revue de haute gamme pour illustr�es les efforts de
plusieurs � partir NA � des endroits comme Cleveland, Ohio, et des
endroits �loign�s comme Los Angeles. Sur la cote de l�Ouest, un petit
groupe s�est r�uni et on partis ce qu�ils disent est une nouvelle
marque de Narcotiques Anonymes � Sun Valley, en Californie. Tandis que
tout ceci est questionnable en ce que concerne les origines, il n�y a
aucun doute que la continuit� des r�unions et le d�veloppement �ventuel
de NA en une Fraternit� Mondial se centre autour des efforts
la c�te Ouest pour partir une Fraternit� de Narcotiques Anonymes.
Il doit aussi �tre fortement mentionn� que tandis que les Quartier G�n�raux
et certaines coordinations venaient de la Californie, ce sont les gens de
NA qui ont amen�s les s�rieux changements dans les ann�es 1970. Greg
Pierce connaissant quelques choses � propos d�organisation et est arriv�
� NA en habit d�affaire. Autant qu�il �tait � junkie �
et d�pendant d�h�ro�ne, Greg avait un amour profond des gens et un
flair/don pour le fantastique. Tellement ainsi
qu�il a mis� sa vie sur un programme qui, dans certains aspect,
n�existait pas encore. Lui et d�autres ont fait beaucoup du travail de
base qui a aider de faire le WSO (BSM) de Jimmy K une r�alit� et un
bureau fonctionnel. Jimmy, d�autre part, �tait un grand chef symbolique,
aimant NA et la vie de Service que le fait d�avoir le BSM dans sa r�sidence
lui permettait. Diner du 20i�me Anniversaire : Le discours du 20i�me anniversaire de
Jimmy K Date d�abstinence le 2 f�vrier 1950; Los
Angeles, le 18 ao�t 1973 Pr�sident
Bob B Introduction
par Bob B. Le
20i�me anniversaire est, je pense, une bonne occasion pour moi
en terme de, je n��tais pas dans les parages pour les vingt ans car je
jouais encore le fou. Mais il y a environs quinze ans, lorsque je suis
arriv� j�ai rencontr� des gens que quelque chose c�est produit dans
le processus. Et ce n ��tait pas pour ce produire pour un autre
trois ans avant que je deviens abstinent � l�insistance de L��tat.
Et pour ensuite d�couvrir que je pouvais sortir apr�s quelques ann�es
et de demeurer abstinent pour encore quelques ann�es de plus que dix ans.
Ca n�a aurais m�me pas �t� possible si ca n�aurais pas �t� des
gens comme vous dans cette pi�ce qui ont comme insist�s, comme pouss�s,
comme parl�s de moi en mal, ils m�ont comme soutenus. Ils m�ont donn�s
tout les choses qui m��tait n�cessaire, les choses que j�avais
besoins. Et en m�me temps, une personne, donc je me suis devenu tr�s pr�s,
� cette p�riode, est rest� en contact avec moi � travers les ann�es,
me donnant de la confiance en terme que je pouvais le faire si seulement
je l�essayais. Et nous avons travers�s plusieurs tentatives d�erreurs
dans ma croissance. Et en m�me temps nous avons partag�s plusieurs
peines de c�ur et plaisir aussi. Je vais lui laisser vous racont� sa
propre histoire en terme de ce qui c�est pass�. En
ce moment, je suis en train de fouiller dans des papiers de nos bureaux et
les choses �taient dans les coffres d�autos et les fonds de garages,
dans des boites de cartons et vieux des classeurs et tous ce que vous
voulez. Et plusieurs de ces choses que nous conservons comme capital en ce
qui a trait au pass�. Et une de ces choses que j�ai conserv�e depuis
les ann�es est une copie originelle des r�glements qui ont �t� adopt�s
en 1953. (Le texte de ces r�glements peut �tre trouv� � la page 2 de
cette �uvre.) Le 17 ao�t, qui �tait hier aujourd�hui est comme un an
(20 ans) et un jour. Cette ensemble de r�glements qui fut d�pos� afin
de d�terminer, d�op�rer, ou de gouverner NA dans son ensemble quelques
guides particulier. Ils y a eu plusieurs, plusieurs additions et
changements depuis. Mais en ce moment je pensais pertinent que je mette
ces R�glements dans une sorte d�archive pour les conserver. Et � qui
de mieux les donner pour les conserver que la personne qui a aider � le
mettre ensemble, � comme les rassembler, nous garder li�s
d�une fa�on ensemble. Et je les aie missent dans un classeur
afin qu�il puisse les entreposer avec le reste de ses tr�sors comme
souvenirs de disons � c�est l� ou ca commenc� et c�est comme
ceci que c�est aujourd�hui �. Et j�aimerais en ce moment,
introduire et pr�sent� ces R�glements comme expression et marque de
bonne vaillance et de je ne sais pas quoi
et quels mots utilis�s pour l�exprimer � Jimmy K, un des
fondateurs de NA et une des personne qui a �t� un constant et une qui le
(NA) garde ensemble et l�a gard� ensemble � travers plusieurs des ann�es
que c�a existe. Alors, ceci sont les R�glements, une copie originelle,
et je vais les remettre � Jimmy. En ce moment, Jimmy peut probablement
donner un peut plus de � background � et adresser � propos
d�o� ils viennent, ce qui c�est pass� et ce qui ce passe
actuellement. Je vais rendre la parole � Jimmy K. Jimmy
K. Mon
nom est Jimmy Kinnon, je suis un d�pendant et un alcoolique (Le texte du
discours de Jimmy K est entier). Je suis sur le bord des larmes depuis
environs une heure et cela m�a presque compl�t�. Mais je n�aie plus
honte des larmes a condition qu�elles soient dites pour de raisons
valables. Cela a presque essuy� mon cerveau � propre. Je ne me souviens
m�me plus maintenant de ce que je voulais dire. Par contre, dans notre
Fraternit�, � n�importe quel moment, notre but primordial doit
toujours �tre dans nos vies, que nous sommes en train de socialiser entre
nous, dans nos foyers individuels, ou que nous sommes dans un
rassemblement de ce genre,
particuli�rement ce genre. Ce que j�ai a me souvenir, personnellement,
est que je suis ici, et que possiblement, vous �tes tout ici � cause des
gens que ne serons jamais ici. Le nouveau est le sang nouveau de cette
organisation, il l�a toujours �t� et le sera toujours. Bob
a mentionn� quelques personnes qui sont ici ce soir et quelque personne
qui ne sont pas ici ce soir. Ces gens que nous appelons � serviteurs
de confiance � de Narcotiques Anonymes. Pour la plus part,
n�importe qui prend une position de n�importe quel genre de dirigeant
(que ce soit un Secr�taire de Groupe ou un Repr�sentant de Groupe, Repr�sentant
de C.S. L. (GSO), Syndic, ou tout autres choses en regard de cette
organisation) s�ouvre la porte � beaucoup de travail, beaucoup de
critiques, et plusieurs de ces choses qui se passent. Mais vous voyez,
nous avons besoin de grandir, et nos �paules s��largissent assez pour
porter ces choses parce que la vie qui nous est donn�e fait que tout en
vaut la peine, je ne serais pas ici ce soir. Si ce programme ne m�aurais
soulev� plus haut et ne m�aurais port�e plus loin et ne m�aurais
fait sentir mieux que tout autres choses l�a jamais fait dans ma vie. Ca
c�est vraie en maudit. Je
suis assis ici haut sur cette chaise, j�ai toujours admirer ces chaises
mais n�a jamais penser m�asseoir dans une. Je dit � Yeah Dieux �
semblance de Peter Lorie, vous savez, � Where�s the fat man ?�
Mais,
on nous dit �l�important d�abord�. Vous savez, ceci fait parti
d�un r�ve qui c�est r�alis� ; et un r�ve envisonne des grands
changements mais le progr�s envisonnes plusieurs petites actions. Un r�ve
ne se r�alise pas � cause d�un groupe de personne, ou un homme, ou
deux hommes, ou trois hommes. Il devient r�alit� parce que plusieurs
personne s�y mettent � l��uvre, parce que plusieurs personnes y
mettent des efforts, parce que plusieurs personnes ach�tent l�id�e et
le porte vers l�avant. C�est une des raisons pourquoi nous sommes ici. La plupart de vous ont remarquez qu�il y
a quelques photos l� bas sur le chevalet. Ce sont quelques unes des
photos des d�buts. Nous avons commenc� longtemps avant qu�NA soit une
r�alit�, m�me en nom. Nous avons grandis d�un besoin et nous avons
trouvez ceux de nous qui �taient membres qui �taient venus � AA et
avons trouv�s que nous pouvons nous r�tablir. Dans AA nous avons trouv�s
que plusieurs d�pendants retournais toujours sur le chemin de la d�gradation
et la mort. Et nous pensions que ce serais bien si nous essayerons de
faire quelques choses. Mais vous savez, nous sommes de dr�les esp�ces,
le plus que nous essayons de faire quelque choses ensemble, le plus que
nous nous entrebattons et le plus nous nous entred�chirons, d�truisons
la m�me chose que nous essayons de construire. Et cela fut l�histoire
de Narcotiques Anonymes jusqu�� il y a quelques ann�es. Nous d�truisons
aussi vite que nous construisons. Ce sont les genres de gens que nous
sommes et nous devons le reconnaitre pour nous r�tablir. Nous devons tout
connaitre la nature de la maladie. La nature de la maladie et la nature du
d�pendant, et la nature du r�tablissement. Tout ces choses sont n�cessaire
pour grandir, et pour vivre, et pour changer. Et nous avons commenc�s
avec des ressentiments � les ressentiments nous ont fait grandir. Avant
NA il y avait � HFD � (Habit Forming Drug Groups) des Groupes
Drogues Formant l�Habitude. Ceux-ci �taient cach�s, ceux-ci �taient
une ou deux ou trois personne se rencontrant dans des appartements ici et
l�. Personne savait ou ils �taient, ils exigeaient certaines choses et
�taient domin�s par une ou deux personnes. Vous savez que vous et moi
n�allons pas pour l�autorit�. Nous n�aimons pas l�autorit�.
Quelques gens que j�ai rencontr�s dans le bas de la ville (bidon ville?)
de l�Est de Los Angeles il y a plusieurs ann�es, avaient form� un
groupe qui s�appelait D�pendants Anonymes. Ils s�imposaient en
utilisant le nom des AA et elles/ils sont d�c�d�(e)s peu apr�s car ils
�taient trop domin�s par une personne. Alors, nous avons d�couvert t�t,
et notre exp�rience nous a appris que nous ne pouvions avoir des patrons,
des grand membres (Big Shots) dans Narcotiques Anonymes. Pour
un temps apr�s que nous sommes form�, plusieurs choses ont arriv�es que
je ne vais pas abord�es ce soir mais dues � certaines choses qui se sont
produites et dues � la nature du d�pendant, la nature de notre maladie,
certaines personnes ont �t� plac�es dans une position ou ils ont
redevenues des dirigeants, le � Grand P�re Blanc � (Grand
Manitou). Vous savez, nous ne pouvons avoir de (Grand Manitou) � Grand
P�re Blanc � ou de � Grande M�re �, vous savez, ca ne
fonctionne pas dans cette organisation. Et NA est mort une fois encore et
de nos amis dans AA nous ont aid�s a se ramasser et nous ont dit � ne
le laisse pas te d�ranger �. ce furent les vrais amis que nous
avions au d�but, des membres AA qui croyaient en nous, des membres des AA
qui avaient aussi un duo probl�me � ce moment l� et reconnaissaient
qu�ils ont venus et ont aid�s � nous repartir. Mais encore et encore
ceci c�est produit dans cette organisation. Une personne tentait dominer
le mouvement en son entier. Et
chaque fois que cela se produisait, nous commencions � mourir. Car les
Traditions s��coulent dans l��gout quand nous essayons ceci. Et une
des premi�res choses que nous avions dit quand nous nous sommes rencontr�s
en tant que groupe dans cette maison, #1 l� haut, ou nous avons form�
ces R�glements dont Bob parlais ; ou nous nous sommes assis ensemble
essayant de formuler ces choses que nous voulions faire. Nous avions arriv�s
� de tr�s simples id�es. Num�ro Un, que nous croyons que ce programme
de 12 �tapes fonctionnerais pour les d�pendants autant que pour les
alcooliques. Deux, que les Traditions devaient �tre suivi si nous �tions
pour grandir, et grandir en tant que Fraternit� qui pouvait se tenir
debout sans et apparts des AA. Nous prendrions notre propre place en tant
que Fraternit�, et ne serions plus domin�s par ou affilier �
n�importe quoi ou n�importe qui d�autres. Et nous avions dit que
nous garderions une place ouverte pour au moins deux ans, et si, dans deux
ans, un ou deux d�pendants d�montraient que ce programme fonctionnait
pour eux, nous allons nous sentir que cela en aurais valu la peine. Cela �taient, fondamentalement, ce que
nous avions commenc�s avec. Mais nous en avons argument�s pendant
environs six semaines avant de mettre ces R�glements sur papier, et
ensuite, nous ne les voulions plus les R�glements. Le plus t�t, j�ai
figurer, nous pouvons se d�barrasser de ces R�glements, le mieux nous
serions. Parce que les politiques des Traditions sont assez pour nous
guider dans ce que nous avons a faire, les Traditions nous sauverons (prot�gerons)
de nous-m�mes. Et c�est ce qui est si essentiel pour une fraternit�
comme la n�tre. Ceci c�est la vie, l�autre, c�est la mort comme
nous la connaissons. Mais � quel point est-ce difficile de ne pas y
retourner. A quel point est-ce difficile ? Le premier gros point � l�Ordre du Jour
quand nous nous sommes r�unis �tais le nom. J��tais le premier
coordonnateur de ce que nous appelions ah � rien. AANA, c�est ce que
�a s�appelais et j�ai dit � vous ne pouvez simplement pas faire
cela � Vous m�avez nommez votre coordonnateur/pr�sident
d�assembl�, vous allez devoir trouver un autre nom, nous ne pouvons
nous appeler AANA ou NAAA. Et le comit� qui m�a nomm� coordonnateur �
imm�diatement rejet� ce que j�avais dit. Et bien, c�est une bonne fa�on
de commencer. Ils ont rejet�s tout ce que j�ai dit le premier soir
alors, pensais-je, j��tais bien parti. Je ne pourrais leurs en passer
des vite. Ils �taient pour d�couvrir ce qui �tait le meilleur � faire.
Et alors le premier points �tait de contacter Anonymes pour d�couvrir si
nous pouvions utiliser leurs nom ; et avons d�couvert que nous ne
pouvions pas. Alors j�ai eu la satisfaction, au moins, d�avoir raison
sur la premi�re chose qu�ils ont rejet�e. Cela m�a fait sentir un
peut mieux, vous savez, parce que j�ai des nouvelles pour vous, j�ai
ma fa�on la plus part du temps. Vous savez que vous reconnaissez cela
parce que c�est pareil pour vous. Ce sont les genres de gens que nous
sommes. Mais nous avions beaucoup de difficult� quand nous nous
rencontrions parce que je suis comme vous et vous �tes comme moi. Vous
allez devoir me montrer que ce que vous me dites va fonctionner ou je
n�embarquerais pas. Et merci mon Dieu que nous somme comme �a. Je pense
que c�est ce que fait que notre programme fonctionne �ventuellement. C��tait tr�s difficile de trouver un
lieu pour se rencontrer, apr�s que nous nous sommes r�unis sur ce que
nous voulions faire. Nous ne pouvions trouver une salle pour se rencontrer.
Personne
ne nous permettait acc�s. Ils ne nous faisaient aucune confiance. Et
c�est pas mal triste quand vous allez d�une salle � une autre apr�s
avoir d�couvert quelque chose de bon � offrir et que personnes vous
permet d�utiliser leur salle. Vous savez? �ventuellement, nous avons
trouv�s une salle de l�Arm�e du Salut et ils nous ont permis de
l�utiliser pour cinq dollars par mois. Vous savez que c�est pas mal
bien, mais ils n�y avaient aucune facilit�es l�. Il y avait une petite
toilette avec un petit lavabo et un bol, et c��tait tout. Il n�y
avait aucune cuisine alors nous devions nous acheter un petit po�le �lectrique
et des cafeti�res, des tasses dont j�ai toujours chez moi. Je les aie
justement retrouv�es cette semaine. Je les aie depuis toutes ces ann�es.
Nous les remettions � chacun parce que cette semaine vous pourriez vous
rencontrer chez moi, ce qui est � la deuxi�me photo afficher l� haut,
et la semaine suivante, nous pourrions nous rencontrer chez vous. Alors
vous ameniez les tasses pour que tout le monde aie une tasse dans lequel
verser leur caf�. Vous savez, il n�y a pas plusieurs d�entre nous qui
avait plus que quelques tasses chez eux � cette �poque. En fait, peu
d�entre nous travaillais. Mais c�est la fa�on que c��tais. J�ai
encore ces choses. � J�ai
des nouvelles pour vous, la �Sunland Lumber Company� est maintenant
tomb� mais nous vivons toujours. La salle de l�Arm�e de Salut et
toujours l� � il y a deux photos de celle-ci sur la premi�re ligne �
c�est maintenant une �glise Espagnol. Quelques une des autres photos ci-haut
sont d�o� nous avions nos � r�unions lapins �. nous les
appelions � r�unions lapins � � ce moment car nous ne
savions jamais o� nous �tions pour nous rencontrer. Si nous �tions 5 ou
6 � une r�union ce soir, nous d�cidions � ce moment � quel
appartement nous aurions notre r�union la semaine suivante. Et vous
preniez les tasses et les bols de sucre et le format de la r�union avec
vous, vous savez, et nous nous rencontr�mes chez vous la semaine
prochaine. Ce
n�est pas que nous qui entraient dans le programme � ce moment avaient
si peur de la loi mais le nouveau avait peur � en mourir. J�ai fait une
pancarte et nous la placions � l�ext�rieur sur la porte de l��glise
l� (a peu pr�s deux fois la grandeur de ceci � trois fois la grandeur
de cela) qui disait � R�union NA ce soir � 8 :30 �. Et
ensuite nous ouvrons la porte pour les affaires et recevions environs une
douzaine d�alcooliques qui venaient nous aider. Et ensuite une voiture
tournais le coin lentement, regardais notre pancarte et s�envolais.
Personne ne faisait confiance � personne � vous savez qu�ils
croyaient que c��tait surveillez (par la police). Ils ne nous croyaient
pas lorsque nous leurs disons qu�il n�y avait aucune surveillance. Et
nous en �tions pas certains nous-m�mes au d�buts �. � Parce
que, en tant que groupe, nous avions d�cid�s de se mettre du moins
correcte avec la loi, nous avons descendu � la division des stup�fiant.
Et nous leur avons dit, nous ne leur avons pas demand�, nous leur avons
dit que nous �tions pour tenir une r�union pour des d�pendants. Et ils
ont lev�s les sourcils un peut lorsque nous leurs avions en premier
mentionn�. Mais nous �tions cinq. Un nomm� Miller, je ne me souviens
pas si il �tait un Lieutenant ou un Capitaine � ce moment, il a �cout�
et a dit qu� � il est temps que quelque chose du genre se produit.
J�essaye d�aider les d�pendants depuis des ann�es sans r�ussite. Je
ne peux aider personne. � Et il a alors appel� un lieutenant pour
�couter notre conversation et de voir ce qu�il en pensait. Ey il �tait
un dur, un vieux de la vielle, qui savais comme certain (qui savais pour
certains) qu�aucuns d�entre nous pouvais se r�tablir, vous savez. Et
nous �coutions et Miller disait � j�aime cette id�e �,
� j�embarque dans cette id�e �, � j�ach�te ce que
vous avez a dire �, � je ferais tout mon possible pour vous
aider �. Tout au long de la route il �tait enti�rement pour nous.
Soit dit en passant, il a tenu sa parole. Et il a dit � ce lieutenant
� qu�en pensez-vous? � (lieutenant) : � �a ne
marchera pas. Une fois Junkie, toujours Junkie, vous savez �a, maudit. Il
y en auras jamais un seul qui va devenir mieux. Je m�en foute de ce que
vous dites, je m�en foute ce que ces gens disent, �a ne fonctionneras
pas. �Alors he nous � retourn� le regard et je ne savais pas quoi
dire, vous savez, je ne suis qu�un seul parmi le groupe. J�ai regard�
vers Doris et elle ne savait quoi dire. Et Frank, ne savais pas quoi dire.
Et le vieux Pat, qui �tait assis l� avec la bouche ferm� tout le temps
et n�ouvrais jamais la bouche cette fois dit : � Lieutenant,
mon nom et bla bla, je suis n�e et �lev� � telle et telle place. Je me
suis fait arr�ter la premi�re fois pour telle et telle chose et f�t
condamner � un purger des peines d�emprisonnements pour tant d�ann�es,
et commen�ant l� je veut que vous retournez pour voir mon dossier dans
son entier. J�ai �t� dans toutes les maudits P�nitenciers F�d�raux,
sauf que pour Danamora dans le pays. Je suis le dernier des �Petermen�
et je n�est consomm� aucune Merde pour 18 ans. Je n�aie �t� en
aucune prison depuis 18 ans, et ce programme fonctionne pour moi.
Maintenant allez v�rifier et prouvez le � vous-m�me parce que je
n�aie jamais �t� en dehors de la prison du moment que j��tais un
enfant jusqu�� ce que je trouve � ce programme. � et le
lieutenant ne savais plus quoi dire. Pat a dit : � maintenant,
je suis s�rieux, v�rifie le. � �
savoir si le gars aie jamais v�rifi� ou pas, je ne le sais pas, mais je
sais que le d�partement de la police et la division des stup�fiants on
tenues leurs paroles envers nous. Et ils nous ont jamais surveill�s, ils
n�ont jamais fait de descentes chez nous sous n�importe quel formes.
Ne nous ont jamais harcel�s en allant ou en revenant des r�unions. Et
ainsi nous avons, de notre cot�, gard� notre parole, en nous surveillant
nous-m�mes et nous suivions les Traditions du mieux que nous savions le
faire. Et c�est ceci qui, essentiellement, nous a permis de commencer �
grandir depuis les derniers 12 ans. � Probl�mes dans les D�buts Lorsque
la session de planification de juillet a r�sult� � la r�union
d�octobre, presque tout sur la liste des signataires de celles qui sont
r�put�es d��tre les proc�s verbaux d�origine des NA se sont
retirer. �
travers les ann�es, possiblement pour de bonnes raisons, Jimmy Kinnon et
Sy Melas ont eux des d�saccords. Sy �tait fi�re de cit� la fa�on que
les choses se faisait sur la cote de l�Est et Jimmy �tait vite pour
point� que les Douze Traditions disaient ceci et cela. Un cheque �tait d�j�
venu � l�adresse de NA d�un montant de $100 comme honoraire pour un
discours que Sy avait fait � un h�pital. De telles choses cr�aient
certains de nos probl�mes dans les d�buts � travers les ann�es 1950.
Garder en t�te, s�il vous plait, que les Douze Traditions des AA
n�ont pas �t� adopt�s � la Conf�rence G�n�ral de Service avant
1955, alors ils �taient nouvelles. Les
r�unions ont cess�es pendant plusieurs mois en 1959. ce n��tait la
faute de personne; tout le monde pensaient que quelqu�un couvrais la r�union.
Les membres n�allaient pas jouer aux quilles ou � la p�che, ils �taient
probablement � une convention ou � d�autres r�unions. La
responsabilit� n��tait tout simplement pas devenue un point sur notre
agenda NA. Ce qui a fait que les choses changent �tait l�Arbre NA et
les engagements fait par les membres du Conseil des Syndics. Notablement,
Jack Waley a fait une plaisanterie � une des premi�res anniversaires en
disant au groupe qu�ils ferais mieux de s�engager envers NA autrement
ils se feraient avoir pour le prix du poulet caoutchouc au Congr�s
Mondial. Jack �tait probablement le premier NA de faire le point d��tre
loyal envers NA. Si il vous parrainait et vous rechutiez, il vous disait,
� Am�nes moi un an. Tu m�as d��u, d��ois toi aussi. �
Il m�rite une place permanente dans les souvenirs de notre
Fraternit�. (regard� pour plus de mat�riel sur cassette provenant de la
cassette du 20i�me anniversaire.) Narcotiques
Anonymes a �t� construit par des d�pendants vifs, aimants,
reconnaissants qui se sont fait prendre dans le r�ve d�une Fraternit�
mondiale de d�pendants abstinents travaillants les 12 �tapes de NA et en
aidants d�autres. Ce r�ve existe toujours. �a doit �tre compris que
la vision pr�c�de la r�alit� ici. Les r�veurs doivent le voir comme
�tant possible et travailler contre toutes oppositions pour la mener �
la r�alit�. L�opposition peut ridiculiser, saboter, et �tre m�prisable
pour eux dans les d�buts. Mais, merci mon Dieu, ils ont r�ussi et ce
donc nous partageons est leurs r�ve de notre r�tablissement devenus r�alit�. Tremp�
dans l�oubli de soi, ils n�ont cherch� aucun poste au BSM. Ce fut un
facteur qui a aider cr�er la s�paration entre les b�n�voles et les
employ�s r�mun�r�s. Les membres NA, tr�s exp�riment�s et inform�s
parleraient toujours lorsque quelques choses d�inappropri�s de
violation de notre structure se manifestaient. Ceci a possiblement aider
cr�er l�id�e qu�ils �taient tout simplement des radicaux et
qu�ils aimaient se plaindre. La croissance de cette division/s�paration
s��largissait jusqu�� ce que Bob Stone les a per�us comme �tant
�vocale� et dans la �minorit�. Je suppose que chaque
organisation a ses suiveurs qui s�appliquent plus que les membres de la
moyenne et qui en sont �vocale� � propos. En fait, ils pensaient
qu�ils n��taient pas assez vocale et ressentait la confusion et la g�ne
lorsque reproch�s par le personnel du BSM � Bob Stone ou qui d�autre
y �tant employ�. Leurs premi�res pens�es �taient qu�ils avaient mal
saisies et ils v�rifiaient � nouveau, la structure approuv�e et les
autres faits, �crits. Lorsqu�ils ont d�couverts qu�ils avaient
raison, ils devenaient davantage vocale, minorit� ou pas. Et lorsqu�ils
�taient trait�s comme des traitres et des m�contents, c��tait comme
si ils se faisaient plonger un poignard dans le c�ur. Habituellement, pas
� propos du sujet en question mais face � la trahison d�un instance de
service et du fait de ne pas �tre appuyer par leurs membres Fraternelle.
Maintenant, voil� un virus qui peut avec le temps, empoisonner une
Fraternit� enti�re. Bob
Stone parlait, lorsqu�il expliquait le m�l� de la 4i�me �dition
� la Conf�rence des Services Mondiaux, � propos de l�aveuglement qui
affectent les gens au BSM. Qu�il portait attention ou ignorait ceux qui
exprimaient des inqui�tudes, d�pendamment de qui les exprimaient. Ce
genre d��tiquetage a port� � identifier des membres comme � bon �
ou � mauvais �. Que personne dans une position d�aider
n�aie vue ceci est une vraie honte. Plusieurs bons membres ont tomb�s
� cause de cela. Ils ont rechut�s, perdues leurs r�ves, et sont d�c�d�s.
Plusieurs autres sont encore dans des r�unions, �tourdis, sous le choc
et confus � propos de ce qui c�est pass� et de ce qui a mal �t�.
C�est ce que nous voulons dire quand nous les appelons bless�s. Ils m�ritent
que leurs r�ves leurs soient retourn�s. Ils les ont m�rit�s! |
Chapter
One Early
History of NA There is an early mention of a 12 Step program for addicts
similar to Alcoholics Anonymous in the Summer School for Alcohol and Drugs
at Yale in 1948. The question was put to a speaker name William W. We can
easily suppose this is Bill Wilson, though investigation may show another
person. It is still an early mention and while William�s response is
evasive, it doesn�t deny the question.
A person subject to chronic relapse named Daniel Carlson went to
Lexington, Kentucky to cut his dope habit one more time and got clean. It
may have been a miracle or simply the accumulation of efforts by different
people over time. Another man left Montgomery, Alabama and went up to
Lexington with the 12 Steps of AA under his arm. His name was Houston
Sewell. He helped start the Narco group.
There was a newsletter circulated in the Fed system � the
Key. Meetings also took place in Angola, the big state prison in
Louisiana and in Dallas Texas. While many addicts used the system to lower
their habits to more manageable levels, it is obvious that our roots trace
back to these early efforts. In
New York, where Danny lived when he wasn�t in Lexington, an up and
coming lady in the Salvation Army named Dorothy Berry rose in rank to
Brigadier General. Her work earns her mention in our early history. She
encouraged and provided meeting space for NA meetings in their facilities.
Father Dan Egan also worked, primarily among prostitutes and addicts and
also earns mention. An NA member in South Florida in 1982 is quoted as
giving an NA member named Charlie McGee credit for coming up with our
name, Narcotics Anonymous. Time will tell us more as our work deepens what
is known of our history. One thing, regardless of details, we are grateful
to them all for what they did lead to our recovery today.
The
Twelve Traditions were approved by the Fellowship of AA at the St. Louis
General Service Conference in 1955. This singular point well illustrates
just how new the organizational aspects of 12 Step Fellowships were
evolving. When I got clean, I was told that efforts to begin NA in the
forties died out because they did not follow the Twelve Traditions. While
it is true that the principles that lie within the framework of the
Traditions were violated and problems thus generated did stop the meetings
in several instances, they could not violate something not yet known or
approved. One
of our earliest members was Daniel Carlson, a hopeless relapser who came
back to Lexington to clean up one more time. This time he made it. His is
the primary name associated with NA beginnings in the Eastern United
States. Along with Brg
General Dorothy Berry of the Salvation Army who was a great friend to NA
in the early times.
There
are many articles in the Saturday Evening Post and other top magazines to
illustrate the efforts of many to get NA going in places like Cleveland,
Ohio, and distant places like Los Angeles. On the West Coast, a small
group came together and started what they say is a new brand of Narcotics
Anonymous in Sun Valley, California. While all this is questionable as to
originality, there is no doubt that the continuity of meetings and the
eventual development of NA into a world wide Fellowship centered around
the West Coast efforts to start a Fellowship of Narcotics Anonymous. It
also needs to be stressed that while headquarters and some co-ordination
came from California, it is the people of NA that brought about the
serious changes in the 1970�s. Greg Pierce knew something about
organization and came to NA in a business suit. Although a junkie and
heroin addict, Greg had a deep love of people and a flare for the
fantastic. So much so that he bet his life on a program that did not in
some regards yet exist. He and others did much of the ground work that
helped make the Jimmy K WSO a reality and workable office. Jimmy on the
other hand was a great symbolic leader, loving NA and enjoying the life of
service that having the Office in his home afforded him. 20th
Anniversary Dinner:
|
More thanks!
hits in 2004!
Reprinted from the
N.A. FELLOWSHIP USE ONLY
Copyright � December 2001
Victor Hugo Sewell, Jr.
NA Foundation Group
6685 Bobby John Road Atlanta, GA 30349 USA
404.312.5166
All rights reserved. This draft may be copied by members of Narcotics Anonymous for the purpose of writing input for future drafts, enhancing the recovery of NA members and for the general welfare of the Narcotics Anonymous Fellowship as a whole. The use of an individual name is simply a registration requirement of the Library of Congress and not a departure from the spirit or letter of the Pledge, Preface or Introduction of this book. Any reproduction by individuals or organizations outside the Fellowship of Narcotics Anonymous is prohibited. Any reproduction of this document for personal or corporate monetary gain is prohibited.
Last update January 12, 2006