Traditions War: a pathway to peace
- French Canadian -

Quatri�me Chapitre

L�Argent, la Propri�t� et le Prestige

  Quatri�me Chapitre

L�Argent, la Propri�t� et le Prestige

 La fureur, jalousie, territorialit� r�sident dans la partie arri�re du cerveau humain, l�oblongata de medula. Les crocodiles et les alligators ont l�oblongata de medula bien d�velopp�. La sensibilit� et la spiritualit� impliquent des parties plus avanc�es du cerveau et montent au dessus de nos instincts animaux de base. Quelque chose brise de temps en temps chez nos membres et un cot� irrationnel semble prendre le dessus sans pr�avis. C�est semblable a une foule � pendaisons qui part en marche suite � un �v�nement tragique comme un viol ou le meurtre d�un enfant et qui deviens obs�d� � trouver quelqu�un donc le cou fera dans l�ouverture de leurs corde suspendu et pr�t � pendre. Ce n�est pour rien que nos Traditions nous avertissent d��viter l�argent la propri�t� et le prestige. Ces trois se lient � l�avarisme, la luxure et l�orgueil et nous sommes malades dans les domaines du sexe, la s�curit� et la soci�t�. Nous allons, pour la plupart, se compromettre pour plus d�argent que nous avions besoin, plus de pouvoir que nous pouvions assumer et l�avantage sur nos Confr�res. Plusieurs sentiers spirituels nous avertissent contre la participation dans des soucis mondains et d�rangeants lorsque nous cherchons la croissance spirituelle. Il y a un conflit naturel entre le mondain et le spirituel. Ce n�est pas tant une question de bon ou de mauvais, il se peut que ce soit juste la diff�rence entre avoir besoin de l�aire � respirer ou de la nourriture pour manger et notre besoin pour la paix dans nos c�urs et la clart� dans nos pens�s.

 Il y a trois planes d�existences qui n�cessite notre attention pour comprendre ces choses : le physique, le mental et le spirituel. Le r�tablissement physique est de ne pas consommer. Le r�tablissement mental est de ne pas permettre aux habitudes et attitudes maladifs de contr�ler nos vies. Le r�tablissement spirituel est la libert� de cro�tre et aspirer � de plus grandes choses. Au d�but de notre r�tablissement, nous apprenons que la pens� peut produire de la douleur si elle peut obtenir de la drogue en �change. Alors nous apprenons � tol�rer un degr� de douleurs pour poursuivre notre r�tablissement, si n�cessaire. Ainsi alors, nous apprenons qu�il peut y avoir des conflits injustifiables entre le mental et le spirituel. Le mental juge tout de son propre standard et d�clare comme �tant ill�gal et hors jeu tout ce qui n�est pas couvert / compris dans ces standards. Le spirituel ne conna�t aucunes fronti�res et est au-del� des limites de la compr�hension humaine. Les conflits sont apte � se produire et ne devrais pas n�cessairement �tre vues comme des accidents. Le monde de l�esprit est voil� de fa�on qui �loigne et distrait ceux qui ne sont pas pr�par�s pour les champs de visions impressionnants et merveilleux de la perception spirituelle. En particulier, ceux qui n�ont pas encore atteint le confort � �tre soumis exp�rimente de la souffrance et de l�angoisse lorsque confront� par la r�alit� spirituel. Ils se retraitent dans leurs ignorance et peuvent devenir dangereux si trop profond�ment forc�s dans un coin psychologique. Tous les chemins portes � l�am�lioration de soi et augmentation de la sant�, ce n�est que notre maladie qui nous retient. Comme avec toutes choses, la voie spirituelle est d�attendre et de laisser les choses se d�voiler agr�ablement plut�t que de forcer et battre � soumission ces fleurs pas encore pr�ts � s��clater. L�illusion de l�argent, la propri�t� et le prestige permets aux gens de substituer ces choses pour un contact avec une puissance sup�rieure. Ceux qui comprennent ceci vont se retirer et permettre � ceux qui ne le comprennent pas de grandir. �a c�a pas besoin d��tre un myst�re ou un sujet de peur ou de superstition. Cela ne fait que de donner du pouvoir � la maladie et nous en avions assez de cela.

 Au fur � mesure que le BSM a grandi � partir de quelques employ�s dans les ann�es 1970 � plus de quarante au d�but des ann�es 1980 quand les avoirs comptants ont bris�s le seuil d�un million en 1984, par 1985 la question est devenu, � � qui appartiens le livre? � Naturellement, les gens qui le font imprimer, qui en font la mise en page et le distribue en assume la charge et par extension, sa propri�t�. Mais alors, ce n�est pas de la fa�on que la loi se lie. Le BSM n�a pay� personne pour r�diger le Texte de Base. Il n�a m�me pas pay� les d�penses. La Conf�rence des Services Mondiaux a fait quelques remboursements apr�s que plusieurs centaines de dollars de frais postaux et d�imprimeries ont �t� pay�s, � partir des poches d�un membre, sur une p�riode d�au-del� d�un an, insistant de voir les re�us avant. Nous sentions que le tressaillement d�obtenir le livre fait en 1982 et alors l�absurdit� d��tre accus� de faire des erreurs typographiques dans les copies � couverture rigide que le WSO avait fait la mise en page et imprimer. Comme si ils copieraient nos mots et �pellation exacts, m�me comprenant des erreurs dans la personne, l'�pellation et le temps. Heureusement, notre �background� incluaient suffisamment d�adversit� et d�injustice pour ne pas laisser ce traitement dur nous d�ranger l��quilibre spirituel. Apr�s tout, le BSM �tait constitu� de gens d�affaires et de commis. Nous ne pouvions pas nous attendent qu�ils appr�cient le miracle en main. L�antipathie entre le personnel de bureau, les employ�s et les b�n�vole de la Fraternit�, serviteurs de confiance non r�mun�r�s ensuit. Depuis qu�ils n��taient jamais, en aucune occasion, misent ensemble, la fissure devin profonde et large.

 Les changements provenant de ces diff�rences se sont manifest�s en abolissant le poste de secr�taire � la Conf�rence des Service Mondiale. Depuis que le BSM faisait la plupart de l�imprimerie et des envoies postaux, tous �taient en faveur que le BSM s�en charge. Ensuite le poste de Tr�sorier � la Conf�rence des Service Mondiaux semblait redondant et alors le BSM en �tait charg� aussi. Ensuite le poste de Secr�taire au Conseil des Service Mondiaux fut abandonn� en faveur d�en remettre aussi le job au BSM. De plus, le Conseil n�avait pas besoin d�un Tr�sorier. Apr�s quelques ann�es, il �tait devenu �vident que le BSM pouvais faire tout et pourquoi pas? Ils �taient au centre du Monde NA et savaient mieux que tout le monde qu�est ce qui se passait et qu�est ce qui �tait mieux pour la Fraternit�. En voyant leurs distribution des proc�s verbaux et rapports comme une t�che dispendieuse et grandement inutile, ils commenc�rent � formuler le mat�riel de mani�re p�tulante et non conviviale. Par la fin des ann�es 1980 il �tait devenait difficile de lire les Rapports de la Conf�rence, les proc�s verbaux et d�en retirer quelque choses de sensible. Ils existent toujours et des �chantillons seront inclus � ce mat�riel. Un ancien membre du Conseil des Syndiques des Services Mondiaux partage, � je me souviens de lire un rapport au d�but des ann�es 1990 que prenait deux pages et disait que le comit� c��tait rencontr� et qu�il a consid�r� trois options et qu�il en a laiss� tomb� une parce qu�elle �tait comme la deuxi�me et qu�il a laiss� tomb� la troisi�me car elle n��tait pas possible � travailler. Ce qui en ressortait pour moi �tait qu�il n�y avait aucun nom. Le rapport ne laissait m�me pas d�astuce par rapport � quels options avaient �t� consid�r�s, de comment la premi�re et la deuxi�me se ressemblait et de quel �tait la troisi�me de qu�est ce qui faisait qu�elle n��tait pas une consid�ration pratique. M�me la premi�re option n��tait pas d�crite m�me pas dans les termes les plus g�n�raux. Ce f�t ce que les �tudiants � l�universit� apprennent � nommer du �charabia�. Les membres ont cess�s de lire et de r�pondre aux rapports obscure et peu amicaux que m�me les �tudiants de niveau universitaire ont trouv� dense et dur pour lire. �

 Les diff�rends se sont �largis et approfondis avec les contraintes qui se r�v�laient affectant le Guide de Travail Temporaire de notre Structure de Service. L�acronyme TWGSS prononc� �twigs� (Temporary Working Guide to our Service Structure), fut utilis� pour se r�f�rer au Guide Temporaire. Certains membres y ont pens�s et disaient que � L�Arbre NA c�est fait r�duire en branches � (The NA Tree has been reduced to Twigs).

 S�rement, il est juste pour dire que certaines des personnalit�s fortes on fini par travailler au BSM. Ils ont soumis � une contrainte les qualifications professionnelles et ont travaill� fort pour obtenir et tenir leurs positions. Ces affaires de � rechercher un emploi au BSM n��tait pas per�u par les Repr�sentants  d�l�gu�s par la Fraternit�, comme la mani�re la plus spirituelle de servir NA. L�objection non dit �tait celui du � conflit d�int�r�t � qui placerais les objectifs spirituels de la Fraternit� NA en contraintes avec le bilan financier du BSM. La position du Bureau fut finalement mieux d�fini par la notion que �a prendrait environs dix-huit mois pour faire apporter quelque choses � la Conf�rence des Services Mondiaux � travers le Rapport sur l�Agenda de la Conf�rence (CAR) adress� � la Conf�rence, envoy� pour une conscience de groupe d�un an et en prendre un vote � la prochaine Conf�rence des Services Mondiaux. Plus de fa�on bref de d�apporter une conscience de groupe au groupes pour un vote fut mentionn�s que je me souviens. Il y avait surement moyen.

 La position de membres a �t� g�n�e par plusieurs choses. D'abord au loin, la plupart des Repr�sentants n'avaient jamais �t� � Hollywood, � Disneyland ou � l'un des d'autres centres d�attractions � voir au Sud de la Californie.. Ils �taient souvent un peu intimid� et en quelque sortes, d�pass�s. Ils ont voulu �tre aim�s. Deuxi�mement, les demandes �taient grandes et la formation �tait br�ve. Beaucoup d�pendaient du hasard et d�avoir des individus clef pr�sents de garder un regard pour les int�r�ts de la Fraternit�. La notion que la Fraternit� a d� �tre prot�g�e contre l'empi�tement par son propre BSM n'�tait pas plaisante et elle lui �tait difficile pour changer de vitesses. Tout comme d�avoir un b�b� tigre comme animal domestique qui devient trop grand pour son enclos de jeu. Vous ne voulez pas le tuer mais le climat peut devenir tendu.

  Chapter Four

Money, Property and Prestige

 Rage, jealousy, territoriality reside in the back portion of the human brain, the medula oblongata. Crocodiles and alligators have well developed medula oblongata. Sensitivity and spirituality involve more advanced portions of the brain and rise above our basic animal instincts. Something snaps occasionally in our members an irrational side seems to take over without notice. It is similar to a lynch mob that gets going over some tragic event like a rape or a murder of a child and becomes obsessed with finding someone who will fill the opening at the end of their rope. It is not for naught that our Traditions warn us to avoid money, property and prestige. These three relate to greed, lust and pride and we are sick in the areas of sex, security and society. We will most of us sell out for more money than we can use, more power than we can handle and the advantage over our Fellows. Many spiritual paths warn against getting involved with upsetting worldly concerns when we are seeking spiritual growth. There is a natural conflict between things of the world and things of the spirit. It is not perhaps a matter of good and bad, it may only be the difference between the way we need air to breathe or food to eat and our need for peace in our hearts and clarity in our thinking.

 

 
   

There are three planes of existence that need to have our attention to understand these things: the physical, the mental and the spiritual. Physical recovery is not using. Mental recovery is not allowing diseased habits and attitudes to control our lives. Spiritual recovery is the freedom to grow and aspire to greater things. In early recovery, we learn the mind can produce pain if it will get drugs in return. So, we learn to tolerate a degree of pain to maintain our recovery, if necessary. So also, we learn there can be unaccountable conflicts between the mental and the spiritual. The mental judges all by its own standards and declares illegal and off limits anything not covered in those standards. The spiritual knows no boundaries and is beyond the limitations of both the physical universe and the limitations of individual cognition. Conflicts are bound to occur and should not necessarily be regarded as accidents. The world of the spirit is veiled in ways that divert and deflect those unprepared for the awesome and wondrous vistas of spiritual perception. In particular, those who have not yet achieved comfort in being surrendered experience pain and anxiety when confronted by spiritual reality. They retreat into their ignorance and may become dangerous if pressed too deeply into a psychological corner. All roads lead to betterment and increase in health, it is only our disease that holds us back. As with all things, the spiritual path is to wait and let things unfold agreeably rather than force and beat into submission those flowers not yet ready to bloom. The illusions of money, property and prestige allow people to attempt to substitute these things for contact with a higher power. Those who understand this will back off and allow those who do not to grow. It does not need to be a mystery or a subject of fear and superstition. That only gives power to the disease and we have enough of that.

 

 

 

 
 
    As the WSO grew from a handful of employees in the 1970�s to over forty in the early 1980�s. When the cash flow broke the million dollar mark in 1984 by 1985, the questions became, �Who�s book is it any way?� Naturally, the people who get it printed, type set and distribute the book assume it is their charge, and by extension, their property. Well, that�s not the way the law reads. WSO did not pay anyone for writing the Basic Text. They didn�t even pay expenses. The WSC gave some reimbursement after several hundreds of dollars of printing and postage had been paid out over a year�s time out of a members pocket, insisting on seeing the receipts first. We felt the thrill of getting the book done in 1982 and then the absurdity of being accused of making typographical errors in the hardback copies WSO had typeset and printed. As if they would copy our exact wording and spelling, even including errors in person , spelling and tense. Fortunately our background included enough adversity and unfairness to not let this rough treatment upset our spiritual equilibrium. After all, the WSO was made up of business types and clerks. They couldn�t be expected to appreciate the miracle at hand. Antipathy between office staff, paid workers, and the Fellowship volunteers, unpaid trusted servants began. Since they were never brought together on any occasion, the gulf grew deep and wide.

 

 

  
  

The changes growing out of these differences showed up in quietly removing the office of WSC secretary from the World Service Conference. Since WSO did most of the printing and mailing, everyone was for letting the WSO do that. Then the Treasurer of the WSC seemed redundant and so the WSO did that too. Then the Secretary of the World Service Board was dropped in favor of letting the WSO do that job. Also, the Board didn�t need a Treasurer. After a few years, it was obvious the WSO could really do everything and why not? They were at the center of the NA world and knew better than anyone what was going on and best for the Fellowship. By seeing their distribution of minutes and reports as an expensive and largely unnecessary task, they began to style the material in a petulant and unfriendly manner. By the late 1980's it was becoming hard to read the Conference reports, minutes and get anything sensible out of them. They still exist and samples will be included in this material. A former member of the WS Board of Trustees shares, �I recall reading one report in the early 1990's that took two pages and stated that the Committee met and considered three options and dropped one because it was just like the second option and discounted the third option as unworkable. What stood out to me was there were no nouns. The report never even hinted what options had been considered, how the first and second were similar or identical and what the third one was and how it was not a practical consideration. Even the first option was never described even in the most general terms. It was what college students are taught to label �gobbledygook.� Members stopped reading and responding to the obscure and unfriendly reports that even college level students found dense and hard to read.� 

 

 

 

 

   

The riff deepened with the strains showing up in motions affecting the Temporary Working Guide to our Service Structure. The acronym TWGSS, pronounced �twigs�, was used to refer to the Temporary Guide. Some members thought it through and said, �The NA Tree has been reduced to Twigs.�

 

   
    Surely, it is fair to say that some of the �powerful� personalities wound up working at WSO. They stressed professional credentials and worked hard to get and hold their positions. This business of �seeking a job� at WSO was not regarded as the most spiritual way to serve NA by the Representatives sent in from the Fellowship. The unspoken objection was �conflict of interest� that would place the spiritual objectives of the NA Fellowship at odds with the balance sheet of WSO. The Office stance was finally best defined by the notion that it took about eighteen months to get something brought up at a WSC through a Conference Agenda Report (CAR), addressed at the Conference, sent out for a year�s group conscience and take a vote at the following WSC. No more brief way to take a group conscience back to groups for a vote was ever mentioned that I recall. Surely there was a way.

 

   
 
    The members stance was hindered by several things. First off, most Representatives had never been to Southern California, Hollywood, Disneyland or any of the other sights to see out there. They were often a bit awed and over whelmed. They wanted to be liked. Second, the demands were great and the training was brief. Much depended on luck and having key individuals present to look out for Fellowship interests. The notion that the Fellowship had to be protected from encroachment by its own WSO was not pleasant and it was hard to shift gears. Kind of like having a pet baby tiger that is outgrowing its play pen. You don�t want to shoot  it but it can get tense.

 

 

 Thanks to Boe!


hits in 2007!

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Last update January 12, 2006